Neige : avantage ou non ?

Il fait nuit. Une nuit sombre, froide, glacial. La lune est derriere d'eppais nuages. La neige commence à tomber. Personne n'est dehor, il fait trop froid. Les rues, les places, les avenues sont desertes. La ville est comme endormis... comme dans le coma... comme morte. Cette neige recouvrai la chaussé, devenu glissante par le gel, d'une eppaisse couche. La cathedrale sonnait une heure tardive, dans ce silence de mort.

Un homme était dehor. Un seul homme dans cette ville fantôme, tout de noir vetue. Il passait à travers une avenue par le milieu de la route. La couche neigeuse lui arrivait jusqu'au milieu des tibiats, ses epaules était couverts flocons. Ses mains sont enfoncés dans ses poches, sa respiration est lente, de même pour son pas. Il regardait le sol blanc, perdu dans ses pensés. il s'arréta tout à coup, toujours regardant le sol. Sa respiration s'accelérait, ses yeux se relevaient. Il restait, immobile, regardant au loin. Il avait entendus un bruit, à peine oddible. Quelqu'un d'autre était dehor. Il entendait d'autres pas dans la neige.

Le bruit venait de derriere lui. Il restait là, immobile. Il ne se retournait pas. Il attendait que le bruit se rapproche. Quelques secondes s'écoulaires ainsi. Le pas était rapide et leger. L'homme se retourna avec vitesse en degainant un pistolet-mittrailleur et en tirant sur l'être inconnu. C'était un chien. Un simple chien. Un chien desormé mort, dont le cadavre s'enfonce dans la neige, et dont le sang rougit les flocons. L'homme reprit sont chemin, d'un pas et d'une respiration plus lente encore, toujours plongé dans ses pensés.
Plus haut sur l'avenue, il s'arréta de nouveau. Il se sentait obsérvé. Il gardait sa tête vers le sol, immobile, la respiration de plus en plus lente, les mains dans les poches, sur ses garde.

NB : le personnage est ici Rammsteiner

En effet , il était observer : sur une le toit d'une des maison se trouvant à coter de Rammsteiner , il y avai un homme qui le regardai , les poings lever et une jambes lever , il était droit , mais drole de position sur le bord d'un toit lors d'un temps pareil. Cet homme , c'est Traël , dans sa position de la stabilitée , mais qui observait l'homme tout de noir vétu , parmis tout ce blanc. Et lui , Traël , c'était une tache rouge , en hauteur : du rouge , observant du noir , dans un paysage blanc...

Rammsteiner continua sa route. S'il était vraiment observé, l'inconnu le suivrai. Il marchait donc d'un autre pas lent jusqu'à un carrefour, le plus grand de la ville, le croisement entre les plus grand avenues de la megapôle. Il regardait toujours vers le sol d'un blanc encore immaculé. Encore blanc, pour le moment, car s'il était effectivement suivi, le déséquilibré n'ésiterai pas à agressé dans un bain de sang son "ennemie". Le carrefour offrait un "champs de battaille" plutôt grand, auquel on pouvait egalement ajouté les cinq avenues et boulevards qui s'y croisaient. Rammsteiner s'y était placé en plein centre, les mains presque sortit, on distinguait les crosses de ses revolvers automatiques.

Traël observait toujour cet être qu'était Rammsteiner , et commença à deviner ce qu'il voulait : quelqu'un l'observe , lui ? Alor qu'il vienne ce battre , cet être curieu , regardant un homme fou armée d'arme à feu.

D'un bond , Traël quitta sa position et attérit sur le "champ de battaille" , il se remit droit et regarda toujour l'être noir.

Traël : Tu à l'air de vouloir te battre contre moi , si je ne me trompe...

Scène étrange tout de même , logiquement , si Rammsteiner avai vraiment envi de combattre Traël , il lui aurai déja tiré dessus , ou alor Traël a une imagination débordante... ou croit que tout les types armées veullent se battre contre lui , en tout cas , il croise les bras et observe les prochains mouvement de l'homme noir.

Traël avait atteri dans le dos de Rammsteienr. Il l'avait entendu tomber. Il l'avait attendu atterir derrière lui. Il avait entendu ce qu'il prit comme un défi. Rammsteiner attendait alors quelques secondes, sans bouger, avant de relever la tête, sans rien dire. Puis il se retourna enfin les mains dans les poches, tenant les cross de ses uzy, près à dégainer. Il regardait maintenant Traël dans les yeux, attendant une reaction de sa part.

Traël : Tu n'a pas l'air tres bavard , mais j'accepte le combat.

Une de ses mains s'enflamme soudainnement , et il frappe dans le vide , vers Rammsteiner , on pourrait trouver cette action inutile , mais au moment où il frappa , bien que se soit dans le vide , une boule de feu sortie de sa main , fonçant vers Rammsteiner.

[tu ne dit pas à quelle vitesse va la boule, je part donc du principe qu'elle va à une vitesse "moyenne"]

Rammsteiner esquiva la boule de feu d'une roulade sur le coté, en restant de face à Traël , se qui fut assez simple pour lui, étant donné sa grande agilité couplé à la vitesse moyenne de du projectile. Il se remit droit sur ses jambes rapidement, sans précipitation apparente, et sorti aussitôt ses deux uzys pointés sur cet être de rouge vêtu. Il attendit alors encore un instant, attendant que son opposant baisse sa garde pour attaquer pour qu'il lance une rafale, afin d'avoir le maximum de chance de toucher l'adversaire. Les deux hommes étaient alors maintenant face à face, chacun près à attaquer l'autre.

Rammsteiner : (Attaque, bordel, attaque !!!)