(Guithi) Le show est commencé

Le jeune pianiste exerçait son art, comme chaque nuit... Assis derrière un piano, dans n bar pourri, d'un quartier pourri. Il aimait jouer dans ce bar, malgré le manque d'hygiène, l'ambiance y était très... Appropriée, à sa personne, et le potentiel féminin était à son goût.

Il venait de finir une musique... Sur laquelle allait-t-il enchaîné? Son répertoir était si vaste. Et s'il entamait un air joyeux pour donner un peu de légereté? Non... Ici , il devait jouer un air sombre... Il attendit que les applaudissements prirent fin, il ferma les yeux, et se laissa emporter, par la folie du pianiste.

A ce moment, une âme féminine entrait dans ce bar. Le lieux était si mal éclairé qu'elle devint la principal source de lumière avec sa lanterne... Si bien qu'elle attira le regard, puis serieusement l'attention...

Toute cette bande ivrognes pensait réver, et les toxicomanes croyait enfin que la m*rde de montanio était de bonee qualité... Mais non, c'était bien un fantôme, une âme érante dans le monde des vivants, attiré par la melodie du virtuose...

ps : Je presise qu'il s'agit là d'Amaranth ( hors saga de guithi, 1er post, avant dernier perso)

Shadow regarda la nouvelle arrivante avec intérêt... Elle était à son goût, très pâle, mais à son goût... Il s'arrête net, se leva, et s'adressa à la nouvelle venue.

Shadow: Laissez-moi jouer pour vous ma cher lady, l'arrivée de la lumière, dans les ténèbres, m'inspire tant!

Il la salua, et se rassit, il commença à jouer un air à la foie lent, mystérieux, et triste. Il espèrait tout d'abord attirer son attention, puis il l'inviterait à boire un verre...

Amaranth, interloqué par ce virtuose, fut si flatée qu'elle s'inclina en signe de remerciment. Elle écoutait le musicient avec interé, le regardant fixemant dans les yeux, sans se preocupé des toxicos et des ivrognes qui commencaient serieusement à se demandé si ils révaient ou si c'était vrai...

Jusqu'à ce qu'un des drogués parvint à se lever pour la touché... et instantanémant se transformer en torche humaine ! Une certaine panique pris donc le bar...

Shadow ne cessa pas de jouer... Il regarda la scène, sans ciller. Lorsqu'il eut fini de jouer, il se leva, sur son passage tout le monde s'écarta.

Shadow: Allons, pourquoi tant de raffût...

Il se tourna vers Amaranth, et posa délicatement sa main sur son épaule, un geste protecteur, mais qui faisait parti de son plan, en faisant cela, il pourrait influer les sentiments d'Amaranth.

Shadow: Qu'avez-vous donc fait ma cher?

Shadow ne prit pas feu. Elle ne le voulait pas. Elle continuait de regarder le piano, comme s'il y était encore, à joué de cet air mélodieux, pendant que la torche humaine était parti à toute alure dans la ruelle et se roulait par terre en criant à la mort...

Amaranth : Qu'ai-je fait ? Simplement me donner la mort, il y a de cela quelques siècles...

Shadow la regarda, interrogateur.

Shadow: J'ai peur de ne pas comprendre ce que vous voulez dire... (Serait-elle morte...?)

Amaranth : Peur de quoi ? C'est pourtant claire... Voyez cette flamme, dans cette lanterne... C'est elle qui m'emflama, me transforma en une torche humaine... Mais c'est grace à elle que je suis ici, c'est elle qui me permet de rester dans le monde des vivants, c'est elle qui me permet de hanter la descendance de tout ces gens a cause desquels je me suis mis en feu... En bref, et pour répondre à la questions que vous semblez vous posez : oui, je suis morte, il y a plus de trois siècles.

Shadow était vraiment bouleverser par cette découverte. Une morte? Ici? c'était impossible.

Shadow: Hé bien en voilà une dame originale... Vous... Vous voulez quelque chose?

Amaranth décrocha son regard du piano pour regarder Shadow, et voir le bar dans la panique.

Amaranth : Rien, merci. Cela ne servirai à rien, pour des raison que j'ai déja évoqué.

Shadow se sentit idiot, mais il n'en fit pas part.

Shadow: Très bien, je retourne donc jouer, mon public m'attend.

Il lui accorda un léger sourire, puis s'en alla s'asseoir au piano, il chercha l'espace d'un instant ce qu'il pourrait jouer et il commença un air triste.

Amaranth écoutait la mélodie et regardait Shadow la jouer pendant plusieurs minutes. Elle dessia finalement de retourner au cimetière pour pour s'y reposer un peu. Elle se retourna et se dirigea vers la porte par le plus court des chemin et en passant à traver tout ceux qui croisaient son chemin et en emflament tous ceux qu'elle touchait.

Shadow jouait paisiblement, écoutant sa propre mélodie...
Quand il vit Amaranth s'éloigner, il s'arrêta de jouer, il se leva de sa place, passa au comptoir dire au proprio qu'il revenait, et partit à sa poursuite. Il n'eut pas de mal à la discener parmis les passants, elle brûlait tout ce qu'elle touchait, et passait à travers les gens. Il allongea de longues foulées afin de la rattraper, mais elle était encore loin, la nuit était froide, il produisait de la buée à chaque respirations, et il dut mettre les mains dans les poches pour se réchauffer. Il accéléra encore le pas, il fallait vraiment qu'il la rattrape, etl ui devait contourner les passants, il était fasciner par cette femme.
Au bout d'un moment de course poursuite il la rattrapa, il passa délicatement sa main sur son épaule.

Shadow: Allons... Vous ne m'avez même pas dit comment vous vous appelez... Huhuhu

Amaranth ne se retourna pas. Elle reconnu Shadow grace à sa voix.

Amaranth : Mon nom ? Quel importance ?... Mais si vous voulez vraiment le savoir, suivez moi jusque devant ma tombe, nous pourrons y discuter tranquilement.

Ils sortirent donc de la ruelle et travérsèrent la ville dans le silence pour se retrouver dans le cimetière. Amaranth se dirigea vers sa tombe et s'y assis

Amaranth : Voici ma tombe, je vous laisse lire mon nom.

Shadow avait bien gentiment suivit la morte. Lorsqu'il arriva à la tombe il vit son nom... Amaranth...

Shadow: Amaranth... En voilà un nom bien singulier... Pour ma part, je me prénomme Shadow, enchanté my lady.

Il la salua, comme il saluait son publique.

Amaranth : Hm, Shadow, hein ? Fort beau nom, je doit dire... Mais parlez moi un peu de vous, dites-moi ce qui vous importes en ce monde actuel, ect.

Shadow: Ce qui m'importe? Huhuhu... Vous vous intéressez à quelque chose qui n'en vaut pas la peine ma chère, mais soit. Ce qui m'importe, l'art, l'amour, et la tranquilité.

Amaranth : La tranquilité, hm ? L'on n'en trouve points plus ici qu'autre part, trés cher. L'art, on en trouve partout, il vaut donc mieux s'y interesser effectivement, sinon ce monde ne devient plus qu'ennuie... Et l'amour, qu'est ce que l'amour, pour vous ? Je ne connais pas ça, moi... Je ne l'ai jamais connu...

Shadow: Huhuhu... Qui peut bien décrire l'amour? Si je vous donnais ma version ici maintenant, vous auriez un avis qui n'est pas le votre, alors que c'est une chose que chacun ressent différemment... Essayez, vous verrez.

Amaranth : Essayer... Oui, mais comment ? Ô déséspoire, je vous rapelle que je suis morte, que je fait peur au monde entier, que tout le monde me fuit... Ce que je suis me l'interdit. Ma mort prématuré me laissera vierge à jamais, mon suicide fut mon voeu de chasteté... Personne ne pourra m'aidé à connaitre l'amour, malheureusement...

Shadow se laisse tomber sur une tombe voisine.

Shadow: Si vous partez défaitiste c'est fort logique que vous n'arrivez à rien. Mais regardez vous, qui l'eu crut qu'une morte -Pardonnez-moi l'expression- se baladerait dans le monde des vivants? S'il se pass une chose improbable, pourquoi pas deux.

Amaranth : Pourquoi pas deux,hm ? Vous avez sans doute raison, mais qui donc voudrai d'une morte pour l'aimer ? Pouvez vous me le dire ? Je ne suis pas de ce temps, il est de trois siecles plus loin que le mien, c'est trois siecles de trop, je pense. Laissons l'amour aux vivant... Laissons la leur...

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